Pinceaux et bagages..... suite




Conserver en soi (profondément établi) cette idée, simpliste, que l’artiste à son modeste niveau peut être un témoin de son époque.
Décalé ! Direz-vous, si l’on se situe par rapport à la civilisation de la communication dans laquelle nous vivons.
Pas tout à fait !
Si l’on considère, que certains lieux,  bâtiments,  monuments ne s’inscrivent pas toujours dans la pérennité, et là l’artiste peut subitement endosser le rôle de documentaliste.
Ainsi, ont disparus des châteaux d’eaux, des maisons de villages, des paysages côtiers, des bords de route jonchée d’arbres arrachés par les vents, des coteaux incendiés,  des pigeonniers, autant de belles choses qui ont étés victimes climatologiques ou objets de bouleversements, architecturaux, ou naturels.
Ces phénomènes, sont constatable un peu partout, en France en Europe ou ailleurs.
Se déplacer avec sa boite d’aquarelle,  implique donc aussi,  que le peintre puisse témoigner par l’art de ce qui bouge dans ce monde.

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