Après l’Anjou, Pornichet afin de remmener mon petit fils Nils au prés de sa tendre mère  puis retour par St Nazaire et sa toute proche Briére.
Des paysages qui m’attirent d’ autant plus qu’ il s’agit d’ étendues d’eaux mystérieuses, avec une vie intense et secrète à la fois.
Et surtout parce que je suis dans une période de recherche sur les eaux et leurs reflets, leur pouvoir de se confondre avec le ciel et en priorité la réceptivité à la lumière, qui est la première de leurs qualité.
C’est un exercice difficile  et si l’on ne maîtrise pas parfaitement la technique du glacis on à du mal à entre mêler reflets et profondeurs, dans une harmonie telle que le spectateur évoque le besoin d’ y plonger vers une sorte d’ apaisement.