Les Cubaris.
De la difficulté à donner des effets de vitesse à l’eau des torrents Pyrénéens, j’ai donc exécuté cette aquarelle à titre d’étude.
Tout en peignant j’ai appris, par un passant, qu’il s’agissait du quartier des Cubaris et un peu après j’ai pu m’entretenir avec un couple de septuagénaires de nationalité Suisse. Nous avons abordé des sujets sensibles tels que le nazisme, car ses parents à lui, avait fuit l’Allemagne dés 1937. Comme quoi l’on peut peindre et se cultiver au travers du relationnel humain.
Conclusion : Une peinture de plus à laquelle se rattache l’anecdote.