Aquarellothérapie.
A explorer le nouveau concept sorti tout droit de mon imagination :
L’ Aquarellothérapie , dont on pourrait  imaginer que cette nouvelle thérapie ( entre guillemets) puisse apporter à certains esprits perturbés ou en demande de carburants psychiques, la possibilité d’ un apaisement en même temps que l’enseignement de la technique propre de l’ aquarelle.
En s’appuyant  sur les réactions psychosomatiques que peuvent générer :
1 La présence de la couleur des choses dans notre existence.
2 La présence et l’utilité de l’eau pour la nature et nous même.
3 Tout, ce qui de prés ou de loin, est sensé, générer un équilibre au travers du besoin de créer.
4 Evocation de l’apaisement que l’eau et sa proximité, la recherche constante des civilisations de sa proximité….ect….

La peinture pour moi, est cette incandescence qui habite mon âme et mon corps, prête à jaillir à tout moment belle ou agressive.
 Elle est là présente en moi, tapie dans la moindre de mes pulsions…
.Et pourtant jamais elle ne dépassera en moi ce besoin puissant que j’ai d’aimer les humains, au point de pouvoir les pleurer, les plaindre ou les maudire.
Etant moi-même issu de cette animalité là, tant pis si le miroir se brise, je compte dans tous ceux de mes semblables, tant d’amis que j’aime ou que j’ai envie d’aimer.
Mai c’est si peu dire que je les aime, ne serai-ce que pour les avoir croisé, frôlé, entendus ou sentis, rien ne peu les remplacer ils existent jusqu’aux tréfonds de mes veines, j’ai peur pour eux… les sentant en danger : D’amour, en danger de mal être, en danger médical, en danger social.
Sachant combien nos humanités se sont construite siècle après siècle au travers  des beautés et des haines, pour autant j’en déplore et condamne se besoin qu’a l’humain de mesurer ses progrès du plus haut de ses ossuaires.
Il y a là le plus grand frein à ma croyance en l’humain, et que j’assume jusqu’à épuisement.
C’est alors que je reprends mon pinceau pour poursuivre ma marche vers la beauté humble et rassurante de mes amours d’ici bas.
Bernard 




Emmener ses pinceaux partout, quels que soit la destination ou le véhicule qui vous y propulse,
 reste comme indispensable à qui désire peindre en tout  lieux et en tout temps.
-Préparer ses bagages, pour rentrer en clinique. (Bel Air 2003)
-Préparer ses bagages, pour partir au Québec.
-Préparer ses bagages pour la Normandie.
Tant pis pour les lieux, ou les circonstances, mais ne pas oublier de glisser dans ses bagages, la boite d’aquarelle et son pinceau aussi petits soient-ils.


Dessous l'arbre
Une robe bleue
A côté
Une robe rouge
Sous un ciel d'hiver
Entre gris et vert
Qui nuage
Et qui pleure à moitié
Derrière l'arbre
Un bout d'horizon
Au lointain
Pas même une église
Juste une maison
Est-ce la maison
Ou de celle des moutons?
C'est La vie lilas
Faite de métamorphoses
C'est La vie lilas
Quand il me manque quelque chose
Dans cette vie-là
Où tu n'es pas là
Et que pour être moins triste
Je détaille la peinture de l'artiste

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